Articles·Psychologie positive

Le pouvoir de la gratitude

😇 Lorsque vous faites l’expérience de la gratitude, vous vous sentez reconnaissant, complet et heureux dans l’ici et maintenant, sans attendre ni désirer que quoi que ce soit d’autre.

🤗 La gratitude est une émotion puisante et agréable de plénitude qui a le pouvoir de transformer la structure de votre cerveau et d’augmenter votre niveau vibratoire.

👉 Comment cultiver en conscience cet état intérieur pour profiter de ses multiples bienfaits au niveau corporel, émotionnel et relationnel ? 

Les bienfaits de la gratitude

✅  Elle rend heureux et s’accompagne de la sécrétion d’hormones de bien-être qui stimulent l’immunité et prolongent l’espérance de vie :

  • la dopamine : hormone du plaisir, de l’énergie et de la motivation
  • La sérotonine : hormone du bonheur et de la détente

✅  Elle est contagieuse et rend votre compagnie agréable : les autres apprécient votre vision positive des choses et vous leur apportez de la joie.

✅   Elle attire le succès : En remerciant de tout votre être pour ce qui est déjà là dans l’instant présent, vous envoyez à l’univers le message que vous êtes  déjà comblés. Et, en vertu de la loi de l’attraction, vous attirez à vous d’avantage de circonstances agréables : santé, abondance, amour, etc.

buddha-1048634

Etant donné que votre état intérieur et le monde extérieur sont en interaction constante et s’harmonisent l’un sur l’autre, le fait de commencer par modifier votre vision ❤️ (porter un regard positif sur les autres et sur les circonstances en vous focalisant davantage sur le bon que sur le mauvais) et éprouver de gratitude 🙏 permet de transformer positivement votre « réalité » ✨

Le cerveau a d’autres priorités 

Dans son ouvrage Le cerveau du bonheur, Rick Hanson explique que nous ne sommes pas naturellement enclins à la gratitude car des dizaines de milliers d’années d’évolution ont façonné notre cerveau pour être toujours sur le qui-vive, en mode « détection de menace potentielle »📡 C’est la raison pour laquelle la plupart des gens ont tendance à accorder davantage d’importance aux sujets d’inquiétude qu’aux petits évènements positifs et agréables du quotidien.

brain-3168269.png⚠️ Lorsque le cerveau détecte une menace pour la survie, l’amygdale déclenche le mode « fuite ou attaque » et mobilise le système sympathique. Elle envoie alors un signal d’alarme à l’hypothalamus qui commande la production d’hormones de stress (adrénaline, noradrénaline et cortisol) : le rythme cardiaque, la pression sanguine et artérielle augmentent, toute l’énergie disponible est mobilisée au niveau musculaire, le néo-cortex est provisoirement déconnecté et vous êtes submergé par l’émotion, le sang et le cerveau étant inondés de cortisol. Votre organisme fonctionne alors ponctuellement en sur-régime et tout ce qui n’est pas prioritaire à la survie immédiate (la digestion, les fonctions reproductives, immunitaires, etc.) est mis en veille. Plus l’émotion qui accompagne l’expérience stressante est intense, plus elle va être mémorisée et s’inscrire au niveau neuronal. Du coup, en cas de détection ultérieure d’une situation similaire, l’amygdale aura tendance à réagir encore plus fortement, entretenant ainsi un cercle vicieux.

L’hippocampe a pour rôle de calmer l’amygdale en vous aidant à relativiser, mais si les poussées de cortisol sont trop répétées – voire deviennent chroniques – elles finissent par l’atrophier et par affaiblir son rôle de régulateur.

😨 Le stress s’auto-entretient : plus vous êtes stressé aujourd’hui, plus vous risquez d’être stressé demain. 

caveman-1460898Au temps de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs, une personne sur 8 mourrait dans un conflit ou à cause d’un prédateur, contre une sur 100 en moyenne au XXème siècle. Dans ces conditions, mieux valait s’inquiéter pour rien 9 fois sur 10 que de passer à côté d’un danger potentiellement fatal. C’est ainsi que notre cerveau a progressivement acquis un penchant négatif avec une tendance à se focaliser et à zoomer sur les risques et les problèmes, tout en minimisant l’importance des choses agréables. En général, les expériences positives ne retiennent notre attention que de manière fugace, alors que les expériences négatives ont tendance à nous miner. Par exemple, si quelqu’un vous fait dix compliments et une critique, il est fort probable que votre esprit accorde davantage d’importance à la critique.

Pour maintenir nos ancêtres en vie, le cerveau a développé un penchant négatif : « il agit comme du velcro sur les expériences négatives et comme du teflon sur les expériences positives ». Rick Hanson

Pourquoi est-il bénéfique de cultiver la gratitude en conscience ?

Ce mode de fonctionnement cérébral était bénéfique sur le long terme pour nos ancêtres et favorable à la survie de l’espèce. Le problème, c’est qu’il n’est plus du tout adapté à notre mode de vie actuel et qu’il est même devenu défavorable à la survie. Bien que les dangers ne soient plus du tout du même ordre, notre cerveau reptilien déclenche toujours les mêmes programmes d’alerte rouge 🔴 et de « survie menacée » dans de multiples situations du quotidien : problèmes financiers, conflits au travail ou au sein du couple, problèmes scolaires des enfants, incivilité sur la route, etc. Le stress a ainsi tendance à devenir chronique et, non seulement il ne nous sauve plus la vie, mais il constitue au contraire le terreau des maladies dégénératives (diabète, obésité, allergies, troubles ORL, cancers, maladies cardo-vasculaires, auto-immunes, Alzheimer, etc.) en raison de l’usure précoce de l’organisme qu’il occasionne.

C’est la raison pour laquelle la plupart des gens ne sont pas vraiment heureux : notre cerveau n’a pas été « conditionné » pour le bonheur et l’ouverture joyeuse à l’instant présent. 

thanks-1209247

🤗 Pour compenser ce penchant négatif du cerveau, il est donc bénéfique de positiver en conscience, c’est à dire de se reprogrammer pour le bonheur et la gratitude. A force de pratique, et grâce à la plasticité neuronale, on s’affranchit progressivement des conditionnements et des schémas de pensée nuisibles liés à la peur pour revenir vers notre vraie nature qui est faite d’amour, de paix et de lien.

Plus vous cultivez la gratitude, plus votre cerveau va voir la vie selon un angle positif, et plus vous serez heureux, motivé et efficace. 

⚠️ Mais attention, au début, cela peut vous sembler inconfortable, voire contre-nature, et vous devrez faire preuve de volonté et de persévérance, tout simplement car vous êtes en train de transformer votre cerveau – et donc votre personnalité – en frayant de nouvelles connexions neuronales.

Comment procéder pour cultiver la gratitude ?

feminine-2837577

✅ Tenir un cahier de gratitude sur lequel on s’efforcera de noter tous les soirs trois motifs de reconnaissance pour la journée écoulée.

✅  Effectuer régulièrement des méditations de gratitude. 

✅ Créer une ancre de gratitude.

L’ancrage est un processus utilisé en PNL (Programmation Neuro Linguistique) qui consiste à créer une association automatique (de type pavlovien) entre un état intérieur (sensation, émotion ou sentiment) à un déclencheur externe (visuel, sonore, olfactif ou kinesthésique). C’est ce qui se produit naturellement lorsqu’en écoutant un morceau de musique vous vous retrouvez subitement plongé dans une état de nostalgie lié à une certaine période de votre histoire… L’état émotionnel (par exemple ici la nostalgie) a été inconsciemment stocké dans votre mémoire en lien avec un stimulus sensoriel (le morceau de musique que vous écoutiez alors).

⚓️ En PNL, ce processus associatif est utilisé volontairement pour créer une « ancre », qui constituera un point de référence, un état ressource mobilisable à volonté pour faire face à des situations inconfortables. Il est ainsi possible de créer une ancre de gratitude et de l’utiliser au quotidien. Plus elle sera renforcée, plus il vous sera naturel de voir les choses sous un angle positif.

👉 Protocole pour créer une « ancre » de gratitude à partir d’un bracelet  

Bracelet de gratitude

Le bracelet de gratitude Mieuxquavant® est désormais disponible à la vente sur le site. Il est livré dans un joli sachet en velours rose et accompagné du protocole d’ancrage précisément détaillé (sur des jolies cartes roses), le tout dans une élégante pochette.

Protocole d’ancrage : Le but de ce protocole est de créer une ancre kinesthésique pour mobiliser un état ressource de gratitude utilisable à volonté.

1.Je ferme les yeux et je revis un moment agréable de mon passé pour lequel j’éprouve de la gratitude. Je prends le temps de me replonger dans l’expérience : de m’imprégner des images, des sons, des sensations, voire des odeurs et du goût de ce moment. Je me détends et je m’abandonne à cette expérience au point de la revivre émotionnellement.

2. Lorsque je sens que l’intensité émotionnelle va arriver à son paroxysme : je prends le petit pendentif en forme de coeur entre mon pouce et mon majeur et je maintiens l’émotion tout en exerçant une pression sur le coeur.

➡️ Je viens ainsi de créer une ancre kinesthésique, c’est-à-dire de relier dans mon cerveau la sensation de pression du coeur (stimulus) à l’émotion de gratitude (état ressource).

2. Tester l’ancre : Je ferme les yeux, je reviens à un état neutre puis je teste l’ancre en serrant le petit coeur entre mes deux doigts. Je procède ainsi deux ou trois fois. Lorsque l’ancre est bien installée, je ferme de nouveau les yeux et je pense maintenant à une expérience de frustration. J’active l’ancre (en serrant le petit pendentif en forme de coeur). La ressource se manifeste alors instantanément.

3. Renforcer l’ancre : Au cours de la journée, je pense à serrer le coeur à chaque fois que j’éprouve de la gratitude pour quelque chose.

4. Entretenir l’ancre : Chaque jour, je termine ma journée en recherchant trois motifs de gratitude (que je peux ensuite noter dans mon carnet de gratitude). Je me laisse remplir par l’émotion tout en serrant le coeur.

5. Utiliser l’ancre : En cas de frustration, déception, tristesse, j’active l’ancre et je m’abandonne à l’expérience de gratitude 🙏

Au fil du temps et à force d’être utilisée, l’ancre devient de plus en plus puissante, le simple fait de l’avoir au poignet rend positif, agréable, et attire amour, abondance, santé et harmonie 🤗🤗🤗

Bracelet de gratitude Mieuxquavant® Or

Argent 925 plaqué or (taille 18 cm) 29 € + 2,90 € frais de port France métropolitaine. Délai de livraison 8 à 10 jours

€31,90

Bracelet de gratitude Mieuxquavant® Or rose

Argent 925 plaqué or rose (taille 18 cm) 29 € + 2,90 € frais de port France métropolitaine. Délai de livraison 8 à 10 jours

€31,90

Bracelet de gratitude Mieuxquavant® Argent

Argent 925 (taille 18 cm) 29 € + 2,90 € frais de port France métropolitaine. Délai de livraison 8 à 10 jours

€31,90

Rick Hanson Le cerveau du bonheur
Cliquez pour commander le livre
Articles·Psychologie positive

Et en plus il faudrait « positiver »…?!

Promis depuis longtemps sur le blog, voici enfin un article consacré à la gestion émotionnelle ! 

Pour l’avoir moi-même vécu, je peux dire qu’un diagnostic de cancer est une sorte de cataclysme. En l’espace des quelques jours qui séparent la détection anxieuse des premiers symptômes de l’annonce officielle de la maladie, on voit voler en éclats tout ce que l’on croyait stable dans son existence.

« Cancer » est un mot qui fait peur et tombe comme un couperet pour bouleverser du jour au lendemain nos illusions d’immortalité et de stabilité.

L’annonce nous confronte violemment à notre peur de la mort, mais le pire, je crois, c’est cette atroce sensation de solitude, et ce, même lorsque l’on est aimée et entourée comme cela a été le cas pour moi.

SEULE. Seule dans son corps, seule dans sa tête, seule avec ce sentiment d’étrangeté. « Différente » désormais des autres pour lesquels tout semble plus ou moins continuer « comme avant » : ils vaquent à leurs occupations, se préoccupent toujours des mêmes choses qui nous préoccupaient encore hier et qui tout à coup nous paraissent tellement lointaines et dérisoires. « J’ai un cancer ». Et cela me semble impossible en fait, si peu réel… et pourtant, des mots ont bien été prononcés, un diagnostic clairement posé : « Vous avez un cancer ». 

😨 Peur, panique, révolte, colère, sentiment d’impuissance, d’injustice, tristesse, angoisse, une foule d’émotions se succèdent et nous submergent. 

Mais il faut faire face, se recentrer, protéger les siens, faire bonne figure, prendre des décisions, et surtout ne rien faire qui puisse aggraver les choses, et notamment faire chuter l’immunité.

Nous savons tous aujourd’hui que les émotions désagréables (colère, tristesse, peur, angoisse…) sont associées à des sécrétions hormonales (cortisol, adrénaline) qui dépriment le système immunitaire et constituent le terreau des maladies dégénératives. En envoyant à nos cellules le message que la vie ne vaut plus la peine d’être vécue, elles déclenchent des processus d’autodestruction. 

Les émotions agréables (joie, amour, paix, gratitude…) informent quant à elles nos cellules de notre désir de vivre et s’accompagnent de sécrétions hormonales (dopamine, endorphine, sérotonine, ocytocine) favorables aux processus de réparation et d’auto-guérison.

Nous sommes donc seules et effondrées, mais dans le même temps nous savons (et au cas où nous l’aurons temporairement oublié il se trouve toujours une âme charitable pour nous le rappeler 😂), que nous ne devons surtout pas avoir peur ou nous laisser aller à la déprime, au risque de faire chuter notre immunité et de favoriser la prolifération des cellules cancéreuses. Au contraire nous devons tout faire pour cultiver des émotions « supérieures » bonnes pour la santé. Et le diktat du bonheur ambiant n’arrange en rien les choses ! Souffrir sans garder le sourire serait de très mauvais goût…😂

😩 Mais c’est juste horrible !!! en réalité, car le fait de savoir qu’on doit positiver alors même qu’on ne peut pas faire autrement que d’être anxieuse et triste, alimente encore plus l’anxiété. Comble du comble : on finit pas se sentir coupable de ses émotions « négatives », coupable de ne pas réussir à être joyeuse, confiante et positive !

Je pense que ce conflit entre ce que l’on ressent et la culpabilité de le ressentir contribue à nous épuiser psychiquement et physiquement. 

👉 Alors que faire ? Comment gérer au mieux ses émotions dans un sens à la fois favorable à la santé et respectueux de ce que nous sommes et de ce que nous vivons. 

Une émotion – qu’elle soit agréable ou non – est une énergie qui nous traverse ⚡️ et nous signale si nos besoins essentiels sont plus ou moins satisfaits 💚 ou au contraire menacés  ⚠️

Il y a trois manières d’aborder une émotion désagréable :

✔️  SE LAISSER EMBARQUER par elle et réagir impulsivement d’une manière déraisonnée qui va souvent à l’encontre de notre propre intérêt.

✔️  RESISTER en mettant un couvercle sur ce que nous ressentons, créant ainsi un blocage énergétique. On s’épuise à lutter contre une partie de soi-même, dans un processus contre-productif de poussée et de contre-poussée qui risque de provoquer une violente dé-pression ou des troubles de santé divers.

✔️  ACCUEILLIR et observer l’émotion sans jugement ni culpabilité pour la laisser nous passer au travers. Contrairement à ce que notre éducation et les conditionnements sociaux nous ont porté à croire (« il faut être fort »), nous avons tout à fait le droit d’avoir peur, d’éprouver de la colère ou de nous sentir faibles : tout cela est 🆗

Accueillir et assumer sa vulnérabilité est le meilleur moyen de ne pas en être victime !

Concrètement, face à une émotion désagréable nous pouvons :

✅ Commencer par l’observer, l’identifier, la nommer

✅ Puis s’autoriser à la ressentir sans culpabiliser

✅ Reconnaitre son intention positive, son utilité

✅ Et enfin la remercier et la libérer

Le secret du bien-être : Libérer ses émotions mais maîtriser ses pensées !

yoga-309782

La MÉDITATION dite de pleine conscience est l’outil le plus efficace pour apprendre à gérer naturellement et sans effort ses émotions. 

Elle permet de se connecter à sa propre Source 💟 dans l’instant présent et dans l’accueil de ce qui « est » et de ce que l’on est, sans jugement, en lâchant prise du mental, des ruminations stériles centrées sur les regrets du passé et sur l’anticipation anxieuse de l’avenir, en dehors de toute forme d’intention et/ou d’obligation de « résultat ».

On reste juste assis là (just sitting), observateur de ses émotions, de ses pensées, de son souffle, des bruits, des sensations…

Cette posture est propice à une circulation énergétique fluide, à la LIBÉRATION des blocages et à la paix avec soi-même. Elle permet à l’élan vital de faire ce qu’il a à faire, naturellement et en l’absence de contrôle, pour réparer et GUERIR.

Après quelques semaines de méditation de pleine conscience (20 minutes par jour) :

  • Les régions du cerveau associées à l’optimisme et à la joie sont plus actives
  • Le système immunitaire est plus réactif (globules blancs et les cellules NK plus performants)
  • Le stress diminue et l’aptitude à gérer les « chocs émotionnels » renforcée
  • Le sommeil est de meilleure qualité
  • La concentration et les performances s’améliorent
  • Le vieillissement est ralenti en freinant l’usure des télomères (extrémités des chromosomes qui s’érodent au fur et à mesure des processus de division cellulaire responsables de l’oxydation).
  • Le niveau de conscience est élargi (pendant la méditation, l’amplitude de l’oscillation des rythmes cérébraux augmente), ce qui permet de développer l’intuition et inspiration, y compris durant le reste de nos activités quotidiennes.
  • Le sentiment de complétude augmente : le bien-être nous vient de l’intérieur et non des autres ou des circonstances extérieures et la sensation de solitude disparaît. 

Progressivement et à force de pratique régulière, vous serez naturellement libérée de la peur, et ce, alors même que vous n’aurez pas cherché à lutter pour vous en libérer. 

C’est en acceptant sa peur qu’on se libère de la peur. Lutter contre elle, et contre toute autre émotion prétendument « négative » contribue en fait à la renforcer. 

La méditation de pleine conscience nous enseigne une posture d’accueil et d’acceptation sans jugement qui est source de libération et de guérison. 

Il est possible de pratiquer en autonomie, guidé par une bande sonore au début.

😇 La méditation a changé ma vie. Elle m’a accompagnée tout au long de mon parcours de guérison et m’aide encore chaque jour à aborder avec force et souplesse la permanente évolution des choses et des êtres qui définit la vie. 

Je partage ici le support qui m’a été le plus utile dans ma pratique méditative, le merveilleux livre de Christophe André : Méditer Jour après jour. 

Cet ouvrage continent un CD avec des séances de méditation guidée qui nous accompagnent progressivement vers la pleine conscience. C’est extrêmement bien fait et efficace ! 

capture d_écran 2019-01-23 à 10.21.23

 

 

Commander tout de suite sur Amazon

 

 

 

👉  Méditez gratuitement avec moi : 

Articles·Témoignages de guérison

Aija : Son parcours d’autoguérison du cancer du sein

Bonjour Aija, voudriez-vous vous présentez brièvement ?

Je m’appelle Aija Mougeolle, j’ai un merveilleux mari et trois enfants d’amour. Mon travail est ma passion ; je donne des cours de Kundalini Yoga et de santé.

En 2010, on vous a annoncé un cancer du sein. Pouvez-vous nous dire dans quelles circonstances vous avez été diagnostiquée ?

Lors d’un contrôle de routine mon gynécologue a remarqué une petite grosseur à un de mes seins en disant que ce n’était rien….Echographie la semaine suivante puis suite à la découverte de plusieurs grosseurs dans les deux seins une biopsie a été effectuée sans que je réalise vraiment. C’est rapide !!

Quel protocole la médecine officielle vous-a-t-elle proposé ? 

La liste des scanners puis la date d’opération pour l’ablation de un – ou les deux seins – a été programmée pour la semaine qui suivait, soit 7 jours après la biopsie. En rentrant à la maison avec ces dates j’ai tout annulé en me disant – une grosse boule au ventre cette fois-ci –  que ce cancer devait avoir un message à me livrer, comme je ne me considérais pas être un sujet à risque. J’ai dû signer une décharge après les appels multiples – jusqu’à 22h – des médecins. Selon eux je n’en avais « pas pour longtemps » si ne faisais rien, étant donné qu’il s’agissait d’un carcinome invasif hormonodépendant.  Lire la suite « Aija : Son parcours d’autoguérison du cancer du sein »